Débouchés professionnels
L’insertion professionnelle des étudiants s’effectue :
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au sein de structures diverses : publiques (Etat, Etablissements publics mais surtout collectivités locales), parapubliques (SEM, organismes HLM...) et privées (bureaux d’études, secteur de la promotion immobilière et de la construction privée...)
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au sein de secteurs divers : études urbaines (diagnostics territoriaux, études urbaines, conception de nouveaux quartiers, composition urbaine...), aménagement à proprement parler (réalisation d’une opération d’ensemble sur un secteur d’intervention défini par la puissance publique), immobilier, construction de logements ou d’ensembles immobiliers de toute nature (bureaux, équipements, immobilier d’entreprise...), habitat (concevoir et mener des politiques locales), transports, développement local...
Le taux d’insertion professionnelle des étudiants est très élevé, puisque selon une enquête du Conseil National des Jeunes Urbanistes (CNJU), le taux d’insertion à deux ans de nos étudiants (hors poursuite d’études) est supérieur à 92% (la moyenne de ce taux se situant à 90% pour l’ensemble des Instituts d’Urbanisme, selon l’enquête du CNJU). Selon nos propres enquêtes les taux d’insertion au cours des dernières années dépassent 95%. L’insertion professionnelle des étudiants se fait la plupart du temps à un bon niveau de qualification (chargé d’études, responsable de projet, chargé d’opération).
D’après nos enquêtes, les bureaux d’étude et agences d’urbanisme privés offrent des débouchés nombreux à nos diplômés (23% des diplômés), de même que les collectivités locales (12%), la maîtrise d’ouvrage publique (13%) et privée (8%). Les entreprises de transport accueillent 8% des diplômés tandis que 9% d’entre eux travaillent dans des structures diverses liées à l’urbanisme et l’aménagement (associations et services divers). L’enseignement et la recherche sont choisis par 20% des diplômés, en lien avec la part significative d’étudiants poursuivant leur formation par une thèse. Il y a peu de cas de diplômés s’insérant dans un autre secteur professionnel que l’aménagement (4%). Les débouchés à l’étranger ne concernent que 3% de nos anciens étudiants, les marchés de l’emploi restant assez étanches dans le domaine de l’urbanisme et l’aménagement.
Les enquêtes auprès des anciens diplômés montrent une très bonne adéquation entre les contenus de la formation (connaissances et compétences attendues) et les besoins qui se relèvent lors de l’insertion professionnelle des diplômés. Par ailleurs, le recul donné par l’ancienneté du magistère montre qu’au terme d’une décennie d’activité professionnelle, une très grande majorité d’anciens étudiants occupent des postes à haute responsabilité.
Devenir des diplômés
du M2 urbanisme et aménagement et du Magistère Aménagement de l’Université Paris 1
de 2007 à 2016